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<DIV><STRONG><FONT face=Arial color=#0000ff>
<DIV class=MsoNormal><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial">Bonjour,<?XML:NAMESPACE PREFIX = O
/><O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"></SPAN> </DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial">La
publication du deuxième numéro de la revue <I>Éparts / liaisons études et
pratiques des arts</I></SPAN><SPAN style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial">
vient souligner la pertinence de supporter les arts en cette période où leur
avenir est mis à l’épreuve par l’État. <O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"><B> <O:P></O:P></B></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"><I>Éparts</I></SPAN><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"> contribue à la pérennité des arts
en donnant une voix à ceux qui questionnent la recherche et la création en arts.
Elle fait état de l’interpénétration des démarches de chercheurs et d’artistes
et de la diversité des pratiques artistiques. <O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"> <O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN lang=FR
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial; mso-ansi-language: FR">Sous la
direction de Christiane Gerson et Diane Leduc<I>, Éparts</I></SPAN><SPAN lang=FR
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial; mso-ansi-language: FR"> est une
revue multidisciplinaire en arts. Elle comporte un éditorial écrit par un
invité, des articles de chercheurs et/ou d’artistes invités et des articles
reçus par appel à communication. Elle y présente des articles qui exposent et
interrogent la circulation qui s’opère entre la théorie et la pratique en arts
afin de favoriser l’émergence de nouvelles connaissances dans ce domaine. À
l’image de son nom, la revue <I>Éparts</I></SPAN><SPAN lang=FR
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial; mso-ansi-language: FR"> sert
d’élément dynamique et de symbole à cette circulation.<O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN lang=FR
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial; mso-ansi-language: FR"><I>Éparts</I></SPAN><SPAN
lang=FR style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial; mso-ansi-language: FR">
s’adresse particulièrement aux artistes et chercheurs universitaires en arts,
toutes disciplines confondues. Elle est libre de toute forme d’affiliation, mais
elle émane de l’Association étudiante et du programme de Doctorat en études et
pratiques des arts de l’Université du Québec à Montréal.
<O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"> <O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"><I>Éparts</I></SPAN><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"> nº2, automne 2008, se présente sous
le thème d’une quête de sens pour la recherche-création : le sens de l’art,
celui du vécu personnel à travers les œuvres, celui du territoire, celui du
corps et de ses enveloppes.<B><O:P></O:P></B></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"> <O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial">Cette
publication vous propose des réflexions de quatre artistes-chercheurs sur
l’articulation théorie-pratique ; deux d’entre eux sont diplômés du
Doctorat en études et pratiques des arts de l’Université du Québec à Montréal.
Leurs textes sont circonscrits, d’une part par les impressions sur l’art de
l’artiste multidisciplinaire Sylvie Laberté et, d’autre part, par les propos du
peintre, sculpteur et performeur Armand Vaillancourt tentant de clarifier ce qui
est embrouillé. Ces propos ont été recueillis, édités et annotés par Christiane
Gerson. Laliberté parle de sa démarche de création nécessairement au féminin
alors que Vaillancourt parle de la sienne comme d’une manière de vivre. Pour
lui, tout est art : l’objet travaillé par l’usage et le temps, l’œuvre
qu’il conçoit de toutes pièces et l’écornage des bêtes. La création, présente en
chacun de nous, est la <I>grain</I></SPAN><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial">e que l’artiste et le chercheur
tentent inlassablement de réveiller. Ces derniers l’alimentent et la cultivent
avec un souffle qui leur est propre.<O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"> <O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial">En
ouverture, notre éditorialiste invité, Jean-Émile Verdier, s’interroge sur le
savoir qu’engendre l’art et sur sa reconnaissance à travers l’Université. Il se
sert de la neige dans le tableau <I>Marché aux viandes et aux
poissons</I></SPAN><SPAN style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"> de Lucas
Van Valkenborch en guise de toile de fond pour mener une réflexion sur la
nécessité d’être à l’<I>écouter</I></SPAN><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"> de l’art et de ses
artistes.<O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"> <O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial">Martin
Boisseau ramène au programme du lecteur la problématique de la création à
l’Université (voir les articles de J. Lancri et S. Ouaknine dans le numéro 1)
par un questionnement mené selon le point de vue d’un praticien-chercheur.
L’intérêt est le parallèle qu’il fait entre la pratique artistique et la
pratique de théorisation tout en plaçant la recherche-création au cœur d’une
démarche réflexive <I>sur</I></SPAN><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"> et <I>avec</I></SPAN><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"> l’art que l’institution
universitaire devrait favoriser. Luciano Vinhosa propose une démarche-création
qui permet de considérer le territoire et les habitants urbains qui déposent des
objets habituels, formant ainsi des agencements et des délimitations
territoriales. Il se trouve à les sortir de la banalité en les regardant à la
manière d’une composition artistique. Ce regard devient le prétexte pour une
réflexion sur le lieu, l’espace et la territorialité. William Weiss, et son
collaborateur Dan Necsulescu, présente une analyse approfondie du théâtre
romain, alternant théorie et pratique, les travaux de Florence Dupont et à sa
propre mise en scène de <I>Médée</I></SPAN><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"> de Sénèque. Il tente finalement de
comprendre pourquoi les tragédies de Sénèque sont rarement montées au théâtre.
Soulignons que la production de <I>Médée</I></SPAN><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"> dans le contexte de l’Université
d’Ottawa (2005) est une manifestation de la pertinence du théâtre universitaire.
Yvon Bonenfant clôture ce dossier inépuisable sur la recherche-création, par une
proposition exceptionnelle de <I>recherche-création</I></SPAN><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"> sur les sens – l’ouïe, la vision,
la chair – et la voix. Il aborde dans son texte les notions de la perception
(os, peau, chair) selon Pavis et de la somatique qu’il intègre au moyen d’un
processus de création où il élabore une partition de voix
<I>étendue</I></SPAN><SPAN style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial">,<I>
</I></SPAN><SPAN style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial">en revêtant un
costume expérimental qui se substitue à sa propre peau.<O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN lang=FR
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial; mso-ansi-language: FR"> <O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial">Également, dans l’espoir de
sensibiliser davantage les lecteurs aux travaux des étudiants, unne liste des
thèses soutenues et des soutenances à venir constitue la dernière partie de la
revue<O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"> <O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"> <O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN lang=FR
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial; mso-ansi-language: FR">Vous pouvez
vous procurer la revue auprès des Pesses universitaires du Québec (PUQ) :
<O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN lang=FR
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial; mso-ansi-language: FR"><B>Presses de
l'Université du Québec</B></SPAN><SPAN lang=FR
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial; mso-ansi-language: FR">
<O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN lang=FR
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial; mso-ansi-language: FR">2875, boul.
Laurier<O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN lang=FR
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial; mso-ansi-language: FR">Québec
(Québec) Canada G1V 2M3<O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN lang=FR
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial; mso-ansi-language: FR">Téléphone :
418 657-4075<O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial"><A
href="">http://www.puq.ca/fr/periodiques.asp</A><O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN lang=FR
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial; mso-ansi-language: FR"> <O:P></O:P></SPAN></DIV>
<DIV class=MsoNormal><SPAN lang=FR
style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: Arial; mso-ansi-language: FR">Vous pouvez
soumettre un article pour publication en vous adressant à : <A
href="">eparts@uqam.ca</A><O:P></O:P></SPAN></DIV></FONT></STRONG></DIV>
<DIV><STRONG><FONT face=Arial
color=#0000ff>________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________<BR>"Our
devices for mincing human flesh are part of an international machinery. The
whole society is militarized, the state of exception is made permanent, and the
repressive apparatus is endowed with hegemony by the turn of a screw in the
centers of the imperial system." Eduardo
Galeano<BR>________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________</FONT></STRONG></DIV>
<DIV> </DIV>
<DIV><STRONG><FONT face=Arial color=#0000ff>“Ladies, just a little more
virginity, if you don’t mind” (spoken to a motley collection of actresses
waiting to play ladies-in-waiting to a Queen).—Herbert Beerbohm Tree, in
Alexander Woollcott, Shouts and Murmurs
(1923).<BR>________________</FONT></STRONG></DIV>
<DIV> </DIV>
<DIV><STRONG><FONT face=Arial color=#0000ff>Denis
Salter<BR>McGill<BR>______</FONT></STRONG></DIV>
<DIV> </DIV>
<DIV><STRONG><FONT face=Arial
color=#0000ff></FONT></STRONG> </DIV></BODY></HTML>